Les villages détruits
Neuf villages meusiens situés en première ligne de l’offensive de février 1916 ont été entièrement détruits lors de la bataille de Verdun. Six d’entre eux n’ont jamais été reconstruits.
Villages détruits - © Guillaume Ramon - CDT Meuse
Villages détruits - © Guillaume Ramon - CDT Meuse
Villages détruits - © Guillaume Ramon - CDT Meuse
Fleury-devant-Douaumont - © Guillaume Ramon - CDT Meuse
Vaux-devant-Damloup - © Guillaume Ramon - CDT Meuse
Villages détruits
55100 Douaumont
Tél : 03 29 86 14 18
Courriel : accueil@tourisme-pays-verdunois.eu
Accès libre
Accès libre
En 1914, le futur champ de bataille de Verdun compte plusieurs villages de quelques centaines d’habitants, dont l’activité est essentiellement agricole. Les villages de Beaumont-en-Verdunois, Bezonvaux, Douaumont, Louvemont-Côte-du-Poivre, Fleury-devant-Douaumont, Haumont-près-Samogneux, Ornes, Vaux-devant-Damloup et Cumières-le-Mort-Homme, situés en première ligne, sont évacués lors du déclenchement de l’offensive de février 1916 et totalement détruits lors des combats.
Les vestiges et les noms de ces commune subsistent aujourd’hui. Les emplacements des maisons et des lieux publics sont symbolisés et rappellent les métiers et les activités de ces anciennes communautés villageoises, tout comme les chapelles et les monuments commémoratifs érigés après-guerre.
Parmi ces neuf villages, six n’ont jamais été reconstruits en raison de l’importance des dommages subis et de la présence de munitions. Ces communes « mortes pour la France » sont Beaumont-en-Verdunois, Bezonvaux, Cumières-le-Mort-Homme, Fleury-devant-Douaumont, Haumont-près-Samogneux et Louvemont-Côte-du-Poivre. Elles sont administrés par un conseil municipal composé de trois membres (un maire et deux adjoints) nommés par le préfet de la Meuse.
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Février1916
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1919